Dans la chaleur des canapés...

Après ce petit moment passé dans le parc en la compagnie de Jésus-Judas, Carmen était passée au dortoir déjà en souk pour se changer, ce devait être la deuxième ou troisième fois dans la journée. A ce rythme-là, son stock de vêtements risquait de diminuer, à tel point qu'elle n'aurait plus rien à mettre. Elle avait revêtu un débardeur noir, en coton fin, par dessus lequel elle s'était drapée d'un châle en cashemire noir également. Elle y avait assorti un jean défoncé et portait des ballerines lacées en cuir noir. Elle avait emporté un petit calepin et un stylo, afin de pouvoir écrire un peu. Elle tenait une sorte de journal intime, dans lequel elle décrivait ses sentiments, marquait ses pensées, et personne ne pouvait le lire car Carmen avait, comme tout pensionnaire, une cachette secrète dans laquelle elle dissimulait tout ce qu'elle ne voulait pas que les autres voient. Elle s'assit dans l'un des quatre canapés de cuir qui meublaient la salle, entre autres, et commença à écrire.

Citation :

Je me sens pousser des ailes depuis
que nous nous sommes dit ces mots, je me sens comme étrangement
amoureuse, je me sens heureuse. C'est la première fois depuis très
longtemps. Ca va faire huit mois que je n'ai pas connu cette sensation,
et bien je vais vous dire quelque chose, les enfants : ça fait
plaisir. Ce garçon est un ange, tant dans l'esprit qu'en apparence. Je
l'aime, encore et encore, toujours plus fort. Qui aurait cru...? En
tout cas maintenant j'y crois et j'espère qu'il y croit aussi, j'espère
que ça durera, le plus longtemps possible. Je suis amoureuse, je
l'aime, je l'aime, je l'aime et je ne peux plus me passer de lui.

Après avoir écrit ces quelques mots, elle posa son calepin à côté d'elle, accablée par la fatigue, ayant oublié de le ranger. Elle s'affaissa un peu sur le canapé, posant à présent ses jambes sur le coussin. Ses paupières étaient lourdes, ses yeux commençaient à se fermer. Elle sombra dans un sommeil autant paisible qu'involontaire. Elle n'entendit pas la personne s'approcher d'elle...

Judas rentra aprés c'être changer ,il lui avat fallut quelques instants avant de la trouver dans le salon grace au renseignement d'un pauvre pickpokett qui c'était pris a la mauvaise personne.Jésus avait opté pour une chemise a col mao d'une couleur gris perle et a un large pantalon blanc, bouffant en lin,c'était l'ensemble le plus détendu qu'il avait mais surtous ses deux costumes était inaccessible l'un trempé et l'autre tacher de sang.Et quand il la vit endormir sur le canapé il se pencha pour l'embrasser pudiquement sur le front,et il se rendit compte a sa grande surprise qu'il avait rougir.Il s'assit sur le canapé en face d'elle et la regardat est comptemplait cette beauté.Cependant son attention fut attirait par le livre a coté d'elle ,hésitant il le saisit mais voyant qu'aucun titre ou auteur était deçus il jugeat plus prudent de le replaçait a sa place.

Cela faisait maintenant une demi-heure que Carmen s'était endormie, et elle fut sortie de ses rêves insensés par un charmant baiser sur le front, dont elle reconnut l'origine. Son cerveau ordonna a ses yeux paresseux de s'ouvrir, et elle tourna la tête. Elle aperçut son ami de tout à l'heure qui l'avait retrouvée. Elle esquissa un sourire et posa ses yeux sur son journal, qu'elle avait oublié de cacher. Elle le prit et le serra contre elle, sans faire paraître aucun sentiment, de crainte d'être démasquée. Elle se détendit un peu en regardant Jésus-Judas, et, après une minute d'effort musculaire, parvint à demander :

"Salut. Qu'est-ce que tu fais là?"

Sa voix était douce et chaleureuse, et n'avait rien d'inquiétant, contrairement à d'habitude. Carmen était décontractée en la présence de Jésus-Judas. Elle le regardait avec ses grands yeux bleus en amande... Elle se sentait bien.

[désolée j'étais partie manger]

Jésus souriat quand elle lui parlat d'une voix si douce et décontracter.Il le savait quoi que veuille cette femme quoi qu'elle fasse il l'aimerait toujours tant qu'il lui restait un souffle de vie il l'aimerait quoi qu'on dise.Il se leva et s'assit a coté d'elle et dit d'une voix douce :

"Bonjour!Je t'ai cherché pendant longtemps mais je t'ai finalement trouver!"

Aprés avoir dit ça il se pencha sur elle et l'embrassa.

Carmen, émergeant juste, reçut le baiser avec tendresse et en prolongea le plaisir. Elle se retira quelques instants plus tard et regardait son compagnon d'un regard doux et les referma. Elle demeurait cependant éveillée, sentant avec un plaisir tout particulier le parfum familier de Jésus-Judas. Elle sourit rien qu'à la pensée de le savoir près d'elle. Ses yeux se rouvrirent, et elle revint l'embrasser. Elle adorait cette sensation qui lui faisait penser qu'à chaque baiser elle retrouvait le même plaisir intense, qui se renouvelait à chaque fois.

"Je t'aime." lui sussura-t-elle à l'oreille.

C'était la première fois qu'elle disait ce mot à quelqu'un. Pour elle, c'était très important car cela confirmait l'amour qu'ils éprouvaient tous les deux à ce moment là. Elle entoura le cou de Jésus-Judas de ses bras fins et légers, et se renversa sur lui.

Jésus était surpris de l'ardeur de la jeune fille non que ça lui déplaise au contraire,cependant d'habitude Jésus tentait plutot de les réfrainer.Sa surprise et son bonheur atteignirent des sommets jamais arrivait pour lui qand elle comfirmat son amour pour lui.Jésus était sur de son amour pour elle mais il n'était jusqu'a maintenan jamais totalement sur que elle l'aimait.Quand il sentit les bras de la jeune fille l'entourait avant de le renversait Jésus était déja au nirvana.Il la serrat dans ses bras dans ses bras et lui dit a l'oreille :

"Je t'aime moi aussi!"

(HJ:Désoler pour le retard,l'ordi était monoplisé par mes vieux!)

Jésus hésita un instants dans leur monter au plaisirs sur le fait que si ils passaient a l'acte il serait surement déranger par quelqu'un cependant les autres lieux a sa connaisance était encore pire.Surtous le dortoir avec la blondasse!Finalement il préférat oublier cette posibiltait et le monde éxterieur avec.Il éspérait sincérement que le temps s'arréterait et qu'il ressortirait de cette piéce blanc comme un agneau,mais Judas n'est pas un homme a s'illusioner ou a attendre un quelconque pardon des hommes ou d'un dieu qui les avaient tous oublier depuis la fin des grands prophétes.Et il préférat ce lançait dans le bonheur le plus pur qu'il put trouver avec Carmen.

Carmen et Jésus-Judas arrivèrent à un point où nul ne pouvait les séparer. A force d'étreintes passionnelles et de baisers fougueux, ils atteignirent le bonheur à un niveau incomparable et inconnu de Carmen jusqu'à lors. Certes, beaucoup d'hommes l'avaient envoyée au septième ciel, elle-même en avait envoyé quelques uns, mais jamais ce n'avait été avec des sentiments, du moins, de la part des deux personnes. L'instant qu'ils eurent tous les deux fut cependant rompu par une crampe intempestive qui vint s'incruster au niveau de la hanche de Carmen. Ils ne pouvaient plus rien faire, sauf se laisser tranquille. Carmen, un peu soulagée après quelques instants, s'était mise dans les bras de Jésus-Judas et se coucha avec lui sur le canapé. Elle l'embrassa amoureusement et lui dit, épuisée :

"Tu es magique."

Là-dessus, elle s'enfuit dans un monde où rien n'était interdit.

Si cette instants de pur bonheur avait été arrétait par la crampe a la hanche de Carmen,Judas lui se sentait courbaturait de toutes part et une petite voix persiflante dit dans un coin de son esprit:

°Tu t'encrase mon vieux!Tu survivra pas trés longtemps comme ça!°

Cependant l'heure n'étant pas a l'avenir mais au bonheur et au plaisirs immédiat.Cependant il fut surpris par la remarque de la fille mais avant qu'il peut répondre elle s'était endormir.Judas préférat recouvrir le corps de la femme de son chale et de se rhabiller.Une fois cela fait il ouvrit la porte et fit partir a coup de pied la meute de curieux qui s'était amasait dérrière la porte,cette endroit étais une vraie ruche et le concept d'intimité étais inconnue.Une fois cela fait Jésus rejoint Carmen et se couchat a coté d'elle avant de se ressourcer.

Jésus fut agréablement surpris quand il s'aperçut que la fille ne dormait pas et il lui dit a l'oreille en russe:

"Je t'aime!"

Puis il ajoutat :

"Et je ne me lasse jamais de te le répéter!"

Et il l'embrassat sur les lévres pour clore sa tirades,et le lui montrait par les actes.

Une fois que le cocon d'amour écolt,Jésus ce décidat a avoir avec Carmen une discution qu'il avait jusqu'a maintenan repoussait par faiblesse.Jésus se releva et s'assis confortablemet et commença a parler d'une voix grave avec un air sombre:

"Carmen,il faut que je te le dise.....Voila mes parents faisait partir des milliers de personne irradiées par Tchernobyl,quand il me virent a ma naissance ils préférairent m'abandonner dans la rue...Par chance une putain me récupérat et m'amena dans son bordel!La bas je fut élevait par ces femmes pendant quelques années,et"

Il déglutit maintenant il devait rentrer dans le vif du sujet ce qu'il voulat lui dire avant tous.

"Un jour un médecin c'est aperçus qu'a cause d'une déficiance génétique,mes cellules meurt deux fois plus vite que celle d'un humain normal....Je ne dépasserait probablement pas les 40 ans!"

Un frisson le secoua de bas en haut et il continuat :

"Je tenait a te le dire maintenat!"

Et il enlaçat Carmen,une minuscule larmes lui perlait au coin de l'oeil.

Carmen écouta Jésus-Judas avec attention, étouffant une exclamation de stupeur quand elle entendit qu'il avait été abandonné par ses parents à la naissance. Ce n'était pas son cas, ses parents l'aimaient plus que tout, mais ils avaient été malheureusement obligés de la laisser seule. Ses yeux déjà embués de larmes devant l'histoire émouvante de son bien-aimé déversèrent un torrent de larmes quand il lui annonça qu'il n'en avait plus pour longtemps à vivre. Elle se laissa enlacer tendrement par son amant et elle lui dit :

"Je t'aime, et peu importe combien de temps tu vivras, je serai toujours à toi."

En réalité, elle ne se fichait pas du tout de combien de temps il pourrait vivre. Elle l'aimait de toute son âme et son coeur était déjà déchiré par le décès de ses deux parents, elle ne supporterait pas de voir mourir celui qu'elle aime. Mais mieux valait le rassurer. Carmen sécha ses yeux et se blottit contre le jeune-homme. Elle ne voudrait pas le perdre. Une ultime larme lui coula sur la joue, et ses yeux brillants se tournèrent vers Jésus-Judas. On voyait clairement une expression de tristesse sur le visage de la jeune fille, qui se serra un peu plus contre son amoureux.

Jésus n'aimait plus que jamais Carmen,il avait rencontrait de nombreuses femmes dans sa vie mais elle avait été la seule a réagir comme ça,a vouloir le consoler.Vraiment Judas ne méritait pas Carmen.Jésus essuya les larmes de Carmen.Plus que jamais il regrettait le coup du sort qui l'avait comme ça et la haine envers ses parents qui l'avait abandonnée était plus présente que jamais,bien qu'il sache qu'il n'était pas responsable de l'explosion de la centrale il leur en vouait tous de même sa haine.Cependant il rejetat toutes ses idées en arrières plans et il embrassa Carmen avec fougue comme ci s'était son dernier jour.Puis il la lachat doucement et avec énormement de délicatesse.Et se releva et dit d'une voix rauque :

"Excuse moi!J'ai quelques affaires a traiter!Je reviendrait dès que je pourait!"

En vérité il n'avait rien a faire mais il avait juste besoin de s'isoler quelques instants pour remettre un peu en ordre ses idées.Il commença a avancer vers la porte d'une démarche méchanique avec un air d'intense réflexion.